Il faut qu’on parle de Jean-Marc Jancovici.
Ou plus exactement, de l’engouement autour de Jean-Marc Jancovici.
Lire la suiteIl faut qu’on parle de Jean-Marc Jancovici.
Ou plus exactement, de l’engouement autour de Jean-Marc Jancovici.
Lire la suiteDans sa dernière saison, sortie début 2020, la série politique Baron Noir met en scène l’émergence d’une figure politique nouvelle, Christophe Mercier, un professeur de biologie qui devient une star sur Youtube avec ses idées « anti-système » et se transforme en candidat présidentiel alternatif, hors parti. Son mantra : le tirage au sort des représentants, qu’il érige en pilier du renouveau démocratique.
Mercier arrive assez tard dans la saison, mais finit par polariser la vie politique et rebattre toutes les cartes de la présidentielle.
L’affaire Griveaux, loin d’être anecdotique, est importante à bien des égards, et notamment de par les réactions qu’elle suscite. Entre autres choses, ces réactions révèlent – ou plutôt réveillent – des lignes de fracture pré-existantes, qui n’attendaient qu’un déclic pour refaire surface.
Parmi ces fractures, l’une des plus fortes concerne l’espace numérique. Elle met en lumière des écarts, voire des antagonismes, sur différentes conceptions de la liberté au sein de cet espace, mais aussi au-delà de celui-ci. Ces divergences de points de vue méritent un débat public sérieux.
C’est l’une des vidéos du moment, de celles dont on se passe le mot, qui récolte éloges et superlatifs sur les réseaux sociaux. « Alstom : la France vendue à la découpe ? » : depuis sa mise en ligne début juillet, cette interview de Frédéric Pierucci, ex-cadre d’Alstom, a dépassé les 700 000 vues, une prouesse pour une interview géopolitique de plus de 2 heures.
Lire la suiteOn apprenait récemment que le célèbre Manneken-Pis de Bruxelles, qui sert de fontaine publique depuis des siècles (au moins depuis 1695, voire 1388 selon certaines archives), fonctionnait depuis toutes ces années en pur gaspillage : l’eau, une fois sortie de l’endroit que l’on sait, partait directement dans les égouts. Plus de 1500 à 2500 litres d’eau potable s’échappaient ainsi quotidiennement.
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